Extrait de l’article publié par P. Guigon, R. Lecrocq et D. Turgis dans le Bulletin et Mémoires de la Société archéologique et historique d’Ille-et-Vilaine, t. CVII, 2003, p. 99-144.
Les de La Lande de 1600 à 1713
Rolland de La Lande, fils de Jacques de La Lande et de Geneviève de La Chapelle, épousa le 5 novembre 1609 Marie-Magdeleine de Coëtlogon et mourut après 1646. Ce seigneur du Lou et de Trégomain obtint en octobre 1637, par lettres patentes de Louis XIII, l’érection du Lou en une châtellenie dépendant perpétuellement du comté de Montfort tant que celui-ci existerait, du roi s’il était démembré. Le 23 mars 1642 Rolland versa 1200 livres au duc Henri de La Trémoille pour l’achat de tous les fiefs du Lou dépendant de la prévôté de Blavon en Bédée, vendus en même temps qu’une vingtaine d’autres terres ; trois quarts de siècle plus tard ces ventes furent interprétées par les Aubert, nouveaux seigneurs du Lou, comme le démembrement du comté. Cependant Rolland de La Lande rendit aveu à de La Trémoille de sa seigneurie le 3 novembre 1644, ce qui semble indiquer qu’elle demeurait dans la mouvance du comté ; ces incertitudes juridiques expliquent les difficultés rencontrées par les Aubert entre 1726 et 1744. La châtellenie se composait des seigneuries du Lou, de Launay-Thébault, de Trégomain et de la Téhellière en Bédée, avec droit de justice patibulaire à quatre pots[46]. Rolland eut comme fils Florent de La Lande lequel, décédé le 29 septembre 1669, épousa par contrat du 15 juin 1640 Jacquemine du Breil de Pontbriand, née vers 1622 selon l’historien de la famille, morte à Rennes le 11 avril 1696 et inhumée au chanceau de l’église du Lou ; de leur mariage naquirent René-Hyacinthe, Guy, Jeanne et Renée-Geneviève. L’aîné, « diacre du diocèse de Dol chanoine de Notre-Dame du Folgoët, désirant vivre le reste de ses jours dans l’estat Ecclésiastique », démissionna le 31 octobre 1669 de son droit d’aînesse en faveur de son cadet Guy et se retira à l’abbaye cistercienne réformée de Chaloché, au diocèse d’Angers[47] ; mort le 8 octobre 1701, il fut inhumé près le grand autel de l’église paroissiale du Lou. Le chevalier Guy de La Lande, seigneur du Lou de Trégomain, épousa Marie-Mathurine de Saint-Pern-Ligouyer et décéda à 61 ans par suite d’une épidémie touchant le Lou, où il fut inhumé le 30 janvier 1704, ainsi que sa sœur Jeanne, enterrée le 5 février. Gabriel de La Lande, fils de Guy, baptisé le 31 octobre 1684, seigneur du Lou dès 1710, fut reçu le 24 mars 1711 conseiller au Parlement de Bretagne et mourut précocement le 19 mai 1713 à Amboise. Son carnet de comptes donne une idée de l’étendue de ses propriétés en 1710-1711 ; outre des avantages en nature, il disposait de 14 347 livres 12 sols de revenus (dont 5931 livres 12 sols de précompte portant obligations) pour trente-deux fermes et métairies en Bédée, la Chapelle, Irodouër, Longaulnay, le Lou, Montauban et peut-être Romillé[48].
Le château de 1657
Datation
La date 1657 est inscrite dans un cartouche placé au-dessus de la porte d’entrée principale axée sur le perron, dans la partie subsistant encore aujourd’hui, appelée le 9 novembre 1708 par le trésorier du Lou le « bâtiment neuf de la maison », à en croire un extrait des comptes attribué à la famille Desgrées du Loû mais qui concerne en réalité très probablement les de La Lande, puisque le trésorier ne parle que du « recteur du Lou », de « Mademoiselle du Lou », du « Seigneur du Lou » et de ses métairies, correspondant à celles mentionnées sur le carnet de Gabriel de La Lande ; de plus le chemin emprunté par le trésorier pour aller à Rennes, via la route royale puis Bédée, la proximité de Montauban et du château de Ligouyer en Saint-Pern, font pencher pour une erreur de classement[49].
La datation est corroborée par un bloc de granite, peut-être situé originellement au-dessus du cartouche de la porte d’entrée dans un espace comblé par trois moellons de tufeau, et actuellement abrité dans le niveau de soubassement ; non explicitement daté, il appartient cependant vraisemblablement au milieu du xviie siècle. En effet, ce bloc mesurant 0,42 m sur 0,60 m est gravé d’un écu écartelé au 1 d’un lion qui pourrait être celui des Breil de Pontbriand, dont les armes portaient d’azur au lion morné d’argent ; cependant cet animal, ici pourvu d’une queue, n’est pas littéralement « morné ». Au 2, un mi-parti, se reconnaissent les merlettes des Méel et la fasce contrebretessée des de la Lande, tandis que la fleur de lys au 4 pourrait être celle de La Chapelle ; seule la feuille au 3, chêne ou bien houx, appartient à une famille que nous n’avons pu déterminer.
Figure 12 : pierre portant un écu du milieu du XVIIe siècle (relevé Philippe Guigon, printemps 1980)
Financement et maître d’œuvre
Les Breil, ayant englobé en 1496 les Pontbriand, s’étaient installés dans leur nouveau château de Pleurtuit, tête d’une châtellenie (depuis 1598) érigée en comté en 1650 en faveur de René du Breil, comte de Pontbriand, chevalier de l’Ordre du roi, mort en 1664 à 86 ans ; il avait épousé en 1608 Jacquemine du Guémadeuc. De leur union naquirent neuf enfants, la huitième étant Jacquemine, épouse de Florent de La Lande en 1640, en faveur de qui leurs parents partagèrent le 13 juin 1648 leurs biens, disant « que leurs filles, mariées à Perronay & au Lou, en maisons des plus considérables de la Province, ont reçu chacune trente mille livres »[50]. Cette somme, qui équivaut à plus de deux années des revenus du château en 1710, est à rapprocher des quarante mille livres du coût de la construction du Plessis-Botherel, somme revendiquée par « les papiers du sieur de Coulongers », branche cadette des Botherel[51], et des vingt mille livres dépensées entre 1777 et 1785 par René-Jean du Plessis-Botherel dans son procès contre Guy-Marie Aubert du Lou[52].
Le concepteur de la nouvelle aile du château fut Vincent Barleuf, chanoine régulier de Saint-Augustin devenu génovéfain, élevé sous le père Charles Faure. Né vers 1615, profès en 1631, il fut envoyé après ses études à Orléans, puis Beauvais pour être sous-prieur et maître des novices, à Saint-Martin-aux-Bois (diocèse de Beauvais) où il demeura prieur durant trois années. À Saint-Jacques de Montfort, abbaye appliquant depuis peu la réforme initiée par Sainte-Geneviève de Paris, il fut prieur entre 1647 et 1659 à la suite de François de la Ferre (vers 1603-1648), constructeur du couvent ; il joua un rôle plus ou moins important dans cette nouvelle œuvre, dessinant en particulier des autels et des lambris ou boiseries, ainsi que les armes de l’abbé de Tanouarn. Depuis Montfort il fourni également des dessins pour l’édification de châteaux voisins, à en croire une notice qu’il rédigea à l’intention de Claude du Mollinet, auteur d’une histoire restée inédite des Augustiniens[53] : « Pendant que ce père prieur travailloit audit bâtiment, il donna des dessins à plusieurs personnes qui sont dans le voisinage et qui le consultoient pour faire rebâtir leurs maisons anciennes, entr’autres à M. Descouroger, seigneur du Plessix-Hiet, à M. du Loup, à M. de Peronnet, seigneur de Romillé, la Durantaye, etc., ce qui donnoit par ce moyen des amis à l’Abbaye, dont il provenoit quelque assistance ou quelque douceur ».
Les noms des différents bâtisseurs du château de 1657 risquent fort de demeurer inconnus. La souche de la cheminée sud du château porte sur sa face orientale le nom « Barbot Bodin », qui serait peut-être à rapprocher de l’inscription « 1653 IHS » inscrite au flanc nord de la cheminée de la seule tour subsistante ; faut-il voir une simple coïncidence dans cette similitude des dates, ou peut-on conclure à l’existence sur le chantier du milieu du XVIIe siècle d’une équipe de fumistes ? Plusieurs marteaux de couvreurs sont gravés en léger creux sur les piédroits des lucarnes, à l’intérieur et à l’extérieur, ainsi qu’à l’intérieur du pignon sud, mais aucune datation ne les accompagne, pas plus que pour les marques de tâcherons et de pose de la charpente.
Description et comparaisons
Les murs sont composés en blocage d’un schiste très probablement extrait localement et mis en œuvre grâce à des échafaudages dont subsistent les trous de boulins, et les encadrements emploient le granite gris de Bécherel ; le calcaire coquillier est réservé à la corniche, aux lucarnes passantes et aux cheminées. Les techniques employées sont donc les mêmes que pour la tour attribuée à 1571. L’utilisation d’un enduit masquant les irrégularités de la maçonnerie paraît plus que plausible, comme à Perronay en Romillé. Les carrelages anciens encore en place sont constitués de tommettes carrées de 8 à 9 cm de côté, un module employé à la même époque dans la région, par exemple pour des carreaux réutilisés dans des moules à cloches baptisées à Maxent en septembre 1655[54].
Le plan de l’édifice, à dominante longitudinale, est celui d’un corps de logis centré sur un avant-corps sans profondeur sur lequel s’appuient deux pavillons d’angle, superposant le niveau de soubassement à usage domestique avec une cheminée pour les cuisines, le rez-de-chaussée surélevé, la grande salle de « l’étage noble », le premier étage avec des chambres desservies par un corridor en façade, et la haute toiture à double pente, éclairée par des lucarnes passantes avec des frontons alternativement courbes et triangulaire ornés autrefois de trois boules. Les horizontales sont marquées par des bandeaux sur lesquels se greffent les clefs saillantes des linteaux ; seule l’avancée du perron à double révolution, pourvu d’une rambarde en fer forgé et amenant au palier de l’escalier rampe sur rampe desservant les étages, brise la monotonie de l’ensemble. Une des rares fantaisies provient des cinq gouttes placées sous les allèges des fenêtres orientales, inexistantes de l’autre côté ; l’encadrement de la porte d’entrée, orné de bossages et pourvu d’un fronton semi-arrondi supportant trois sphères, constitue le morceau de bravoure de la façade. Les modillons moulurés supportant la corniche, composée d’une doucine droite et d’un profil droit, rappellent les corbelets soutenant les chemins de ronde des tours du XVIe siècle. Quelques embrasures de tir pour des armes de petit calibre, parfois munies d’une mire, rappellent que le château fut édifié peu de temps après les troubles de la Ligue ; incluses dans la courte avancée du pavillon nord, elles permettaient de battre l’entrée. La décoration intérieure n’existe plus, à l’exception de quelques portes à panneaux, à la différence du Plessis-Botherel, du moins avant les déprédations commises au XXe siècle.
Figure 13 : façade orientale du château de 1657 (cliché Dominique Turgis, 3 décembre 2000)
Figure 14 : a) façade méridionale du château de 1657 (relevé Ronan Guigon et Philippe Guigon, octobre 2001) ; b) coupe est/ouest du château de 1657 (relevé Philippe Guigon, printemps 1980)
Figure 15 : plan du niveau de soubassement du château de 1657 (relevé Philippe Guigon, printemps 1980)
Figure 16 : plan du rez-de-chaussée du château de 1657 (relevé Philippe Guigon, printemps 1980)
Figure 17 : plan du premier étage du château de 1657 (relevé Philippe Guigon, printemps 1980)
Le château, accolé à une construction préexistante aujourd’hui disparue, semble de nos jours déséquilibré, avec son perron désaxé et ses cheminées inégalement réparties. Aussi peut-on parler à son propos d’un chantier inachevé[55], très comparable à celui du Plessis-Botherel dont la partie ancienne, peut-être l’œuvre des Douesnelière, seigneurs du Plessis-Hyette, appartient au xvie siècle et l’aile moderne à 1655 ; la très précise description de ce dernier bâtiment, visité en détail en octobre 1756 en même temps que tous les bâtiments appartenant à la seigneurie, ne signale cependant pas cette dichotomie remarquable[56]. La différence est plus grande avec Perronay où l’accent est mis sur les pavillons, dont la première pierre fut bénite par Barleuf le 30 mars 1653 car rebâti ex nihilo par Jean de Saint-Gilles, époux par contrat du 18 juillet 1639 de Renée du Breil de Pontbriand (baptisée à Pleurtuit le 10 mai 1618), sœur de Jacquemine qui avait reçu comme elle trente mille livres de dot ; ce lien familial explique probablement l’origine de la tradition selon laquelle un souterrain rejoignait les deux châteaux[57]. L’influence du Palais du Parlement de Bretagne, édifié de 1618 à 1655, est sensible ici comme dans nombre de réalisations de Haute-Bretagne de cette époque, ainsi La Louvière en Bruz, La Magnane en Andouillé-Neuville, Artois en Mordelles ou La Belinaye en Saint-Christophe-de-Valains[58].
[46] Arch. dép. Loire-Atlantique, B 1249 (Chambre des Comptes de Nantes, Livre des Mandements, érection en châtellenie du Lou en 1637) ; Guillotin de Corson, A., Les grandes seigneuries de Haute-Bretagne. Première série. Les châtellenies comprises dans le territoire actuel de l’Ille-et-Vilaine, Rennes, J. Plihon et L. Hervé, 1897, p. 276-281 ; La Borderie, A. de, et Villers, L. de, 1895, op. cit., p. 280 ; Mauny, M. de, 1969, op. cit., p. 30.
[47] Port, Célestin, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, Paris, J.-B. Dumoulin, Angers, P. Lachaise, Bellevue et Dolbeau, 1874, t. I, p. 574-575.
[48] Arch. dép. Ille-et-Vilaine, 2 E l 16 (papiers de la famille de la Lande, « Etat des fermes de la seigneurie du Lou suivant l’état que le seigneur de ce lieu m’a mis en main le 15e avril 1710 ») ; Floury, J., et Lorant, E., 2000, op. cit., t. II, p. 880 ; Hozier, Charles d’, Armorial général de France (Édit de Novembre 1696), Bretagne, publié d’après le manuscrit de la Bibliothèque nationale par R. Chassin du Guerny, Rennes, Larcher, 1930, t. I, p. 171 ; Longnon, A., 1903, op. cit., p. 255 ; Saulnier, Frédéric, Le Parlement de Bretagne 1544-1790, Mayenne, impr. de la Manutention, 1991, 2e éd. [1e éd., Rennes, J. Plihon et L. Hommay, 1909], t. II, p. 559-560, n° 754.
[49] Arch. dép. Ille-et-Vilaine, 2 E d 23 (papiers de la famille Desgrées du Loû, « Extrait des comptes du 5 avril 1705 au 29 octobre 1708, 6 volumes d’environ une main de grand papier »).
[50] Banéat, P., 1927, op. cit., t. III, p. 140 ; Breil de Pontbriand, Paul-Marie du, Histoire généalogique de la Maison du Breil, Rennes, A. Le Roy, 1889, p. 179-190 ; Floury, J., et Lorant, E., 2000, op. cit., t. I, p. 216 ; Guillotin de Corson, A., 1898, op. cit., p. 324-325 ; Kerviler, R., Répertoire général de bio-bibliographie bretonne. Livre premier. Les Bretons, Rennes, J. Plihon et L. Hervé, t. III, 1890, in-8°, p. 220 ; Potier de Courcy, P., 1895, op. cit. ; Potier de Courcy, P., 1970, op. cit., t. I, p. 161-162, t. II, 410.
[51] Arch. dép. Ille-et-Vilaine, 2 E b 58 (partage entre François Botherel, seigneur du Plessix, et son puîné Fiacre Botherel des Courogers, 1677-1692 ; « contestation entre la famille Botherel et Mr de Guémenée, cy devant comte de Montauban, relative aux droits qu’ils avaient dans l’église de la Chapelle-du-Lou).
[52] Mémoire pour René-Jean de Botherel, seigneur du Plessis-Botherel, contre messire Guy-Marie Aubert, seigneur du Lou, Rennes, Vve F. Vatar, 1785.
[53] Bourde de la Rogerie, Henri, Fichier Bourde de la Rogerie. Artistes, artisans, ingénieurs… en Bretagne, Association pour l’Inventaire de Bretagne, Bruz, 1998, n° 00377 ; Breton, Yves, « La mise en place de la réforme à Montfort et à Paimpont », Glanes en Pays Pourpré, n° 51, juin 1998, p. 16-26 ; Breton, Y., « La fondation de l’abbaye Saint-Jacques de Montfort », Bulletin et Mémoires de la Société archéologique d’Ille-et-Vilaine, t. CII, 1999, p. 31 ; Pocquet du Haut-Jussé, Barthélemy, « La réforme génovéfaine en Bretagne au XVIIe siècle », Bulletin et Mémoires de la Société archéologique du Département d’Ille-et-Vilaine, t. LXXI, 1958, p. 38-39, t. LXXII, 1960, p. 67.
[54] Guigon, P., L’ancienne église paroissiale de Maxent (Ille-et-Vilaine), fondation royale de Salomon, dans La Bretagne des origines. Actes de la Journée d’étude tenue à Redon le 18 novembre 1995, édités par Jean Kerhervé, Rennes, Institut culturel de Bretagne, 1997, p. 96-98.
[55] Brune, J., 1861, op. cit., p. 80 ; Buffet, Henri-François, Ille-et-Vilaine. Aspect géographique, historique, touristique, économique et administratif du département, Paris, Alépée, 1959, p. 124 ; Ille-et-Vilaine. Guide des châteaux, Loudéac, Y. Salmon, s. d. [1991], p. 49 ; Mussat, A., 1979, op. cit., p. 303.
[56] Arch. dép. Ille-et-Vilaine, 35 J 16 (fonds du comte de Botherel) ; Banéat, P., 1927, op. cit., t. I, p. 345-346.
[57] Banéat, P., 1927, op. cit., t. III, p. 294-295 ; Breil de Pontbriand, P.-M. du, 1889, op. cit., p. 181 ; Floury, J., et Lorant, E., 2000, op. cit., t. I, p. 216 ; Guillotin de Corson, A., 1884, op. cit., t. V, p. 706 ; Guillotin de Corson, A., 1897, op. cit., p. 400-405 ; Mussat, A., 1979, op. cit., p. 306 ; Poulain, Albert, Sorcellerie, revenants et croyances en Haute-Bretagne, Rennes, Ouest-France, 1997, p. 40.
[58] Hamon, Françoise, « Autour du Palais : l’hôtel et le château de 1640 à 1670 », Arts de l’Ouest. Études et Documents, n° 1979-2, p. 79-90.